Louis Larcher a 10 ans, François Filheau 11 ; comme d’autres encore ils travaillent à la Manu en 1842… pas plus de douze heures par jour précise le document ! Que savons-nous de leur vie ? En réalité peu de choses car avant la loi de 1841 cette main d’œuvre n’a pas d’existence officielle. A partir de cette date, la situation change et les enfants (tout au moins certains d’entre eux) acquièrent un statut reconnu.
La suite de l’article : Françoise Metzger, Le travail des enfants dans le Châtelleraudais au XIXe siècle